Voici le roman photo de l'odyssée. Que du vrai.
Vendredi après midi: Comme au cirque avant le spectacle les artistes défilent sur la plage.
Ils racontent leurs exploits aux badauds du coin qui en voyant leurs filets se disent c'est bien des fadas de se mettre à l'eau ici pour ramener 3 étrilles et 2 plies.
Le cake aux olives, on est sauvé. Le stage va pouvoir démarrer.
Diner en terrasse, faut alimenter la chaudière pour pas se refroidir.
Bingo, y a un soleil d'enfer et la mer est un vrai lac.
Par contre, on se pèle grave, 11°C c'est pas terrible.
Le coin est sensas et nous sommes tout seul.
L'eau est très claire et le poisson se fait très discret ( voire très très discret) . En revanche les araignées sont là et en rang serré.
Eric , fait péter la mayo! Ce soir c'est pas chips et jambon au menu!!
Dimanche matin, le vent est tombé et la journée s'annonce magnifique. Direction Arromanches pour aller pêcher sur les caissons.
Eric pilote le bateau et dépose le personnel un peu partout sur le théâtre des opérations.
On s'en doutait un peu, mais après le coup de tabac d'hier la visi est lamentable.
Comme le bar est interdit à la pêche faut pas se louper et en taper un sur un malentendu.
Trois beaux mulets, une daurade et des vieilles se retrouveront sélectionnés pour le barbecue de Gilbert.
Le modèle est homologué malgré l’épreuve du retourné de saucisses qui reste à revoir.
Manifestement le responsable fait l'impasse sur le dessert. C'est stratégique car le froid s'installe avec la nuit qui tombe...
C'est la veillée autour du feu de bois et des belles histoires d'oncle Christophe : Les cuillères, les éléphants et les fourmis, les perroquets, ce bon vieux Robert...
Merci à nos organisateurs, à tous pour la bonne humeur et au syndicat du sucre de canne pour le chauffage.